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Marlène Schiappa: "Je ne mettrai pas de gilet jaune, je crois à l'impôt"

Marlène Schiappa déclare qu’elle ne soutiendra pas le mouvement des gilets jaunes, bien qu’elle ne soit pas dans le gouvernement.

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La secrétaire d’Etat à l’Egalité entre les hommes et les femmes, Marlène Schiappa, a répondu à l’invitation de l’émission «Grandes gueules» mercredi.

Durant son intervention, elle a tenu à assurer les Français que le gouvernement entendait bien les revendications. Par ailleurs, elle déclare qu’elle ne fera pas partie des manifestants en gilets jaunes, malgré le fait qu’elle soit issue d’un milieu modeste et qu’elle n’ait pas oublié d’où elle venait.

La première raison c’est qu’elle n’est pas titulaire d’un permis de conduire. Cela parce qu’elle n’avait pas assez d’argent étant jeune, et maintenant qu’elle a l’argent, elle n’a plus le temps.

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Elle ne nie pas l’existence d’un ras-le-bol fiscal, en indiquant que cela ne fait pas plaisir de payer des impôts, mais la seconde raison c’est qu’elle croit en l’impôt.

C’est pour cela qu’elle manifeste contre les violences sur les femmes ou encore pour la création d’emplois.

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IL FAUT ECOUTER LES MANIFESTANTS QUI ONT DE VRAIES REVENDICATIONS

La secrétaire d’Etat dénonce deux types de manifestants. D’un côté les anti-Macron, qui demandent la destitution du président, de l’autre ceux qui ont des revendications posées et sérieuses.

«Je crois à l’impôt»

Elle indique qu’elle va discuter avec les gilets jaunes de la Sarthe pour écouter leurs réelles revendications. L’élue reste empathique sur la cause de la colère de certains Français, qui se demandent comment ils vont passer les fêtes de Noël avec un tel pouvoir d’achat ou encore qu’ils ne peuvent pas se payer l’essence.

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Pour Marlène Schiappa, il serait injuste de chercher des résultats palpables de sa politique à peine après 18 mois au pouvoir. D’ailleurs, Emmanuel Macron a évoqué cette demande de patience dans son discours, mardi. Or, les gilets jaunes attendent une solution dans l’immédiat.

«Je ne peut être qu’en empathie avec ceux qui disent que la fin du mois commence le 15»

Rappelons que mardi soir, depuis l’Elysée, Emmanuel Macron a tenté de répondre aux gilets jaunes en instaurant une concertation trimestrielle pour surveiller l’état du pétrole et le réviser en cas de hausse du prix.

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