logo
AccueilDivertissement

Franck Dubosc soutient toujours les gilets jaunes mais appelle le mouvement à "rester digne"

Parmis les premières célébrités qui soutiennent les gilets jaunes, Franck Dubosc est cependant contre les actes de violence au sein du mouvement.

Annonces

Le comédien français croit au mouvement. Rapporté par CloserMag, il affirme publiquement qu’il apportera tout son soutien aux gilets jaunes.

Avec des mots d’encouragement, il publie une vidéo destinée à ses millions de followers promettant qu’il essaiera de convaincre ses amis, également célèbres.

Il s’exprime:

"Message aux gilets jaunes et à vous tous qui souffrez. Il faut que l'on soit avec vous, nous les favorisés. Il faut qu'on trouve quelque chose. J'en parle aux copains".

Annonces

Se caractérisant en tant que “favorisé”, il explique que ceux faisant partie de cette classe sociale se doit de soutenir une cause aussi juste.

Pour conclure la vidéo, Franck fait une promesse d’action et conclut en beauté avec un “On y réfléchit, en attendant, je vous aime”.

FACE A LA VIOLENCE

Revenant cependant aux actes de violence entrepris à Paris le samedi 1er Décembre, il déclare qu’il est totalement contre ce genre d’approche.

Annonces

Il explique sur le plateau de Quotidien comment des gens sont en train de détruire le mouvement que d’autres, pensant pouvoir améliorer positivement les choses et exprimer leur malheur, ont construit.

Franck Dubosc demande très clairement à tous ceux qui suivent les nouvelles du mouvement de ne pas “tout mélanger”.

Aussi, il déclare fermement sa position contre la violence:

"ça je ne suis pas d'accord (...)"

puis il termine d’exprimer son opinion en disant que le mouvement est tout à fait capable de rester digne.

LES DÉGÂTS CAUSÉS PAR DES GILETS JAUNES À BRUXELLES

Annonces

Suite aux ravages causés dans la capitale de France, Bruxelles a aussi été, ce vendredi 30 Novembre, sujet de nombreux dégâts pendant la manifestation des gilets jaunes.

Le défilé a commencé vers 10h30, débutant avec une centaine de manifestants. Mais plus le temps passait, plus le cortège atteignait les 300 personnes.

Trois heures plus tard, la situation a commencé à dégénérer avec des manifestants criant "Le peuple c'est nous, Charles Michel, t'es fini" gaz lacrymogène libéré, voitures brûlées et bien d’autres encore dans les rues de la ville.

Annonces
Annonces
Articles connexes