Une hôtesse de l’air humilie un passager en classe économique - histoire du jour

Une hôtesse de l'air apprend une leçon importante lorsqu'elle se montre impolie envers un passager d'apparence simple en classe économique qui n'est pas ce qu'il semble être.

L'hôtesse de l'air Sylvie Robert n'était pas de bonne humeur. Elle avait été programmée pour travailler sur l'une de ses lignes préférées, en première classe, bien sûr, et voilà qu'elle remplaçait un collègue malade.

Elle s'était plainte, bien sûr, mais on lui avait répondu fermement que dans la situation actuelle, tout le monde devait combler les lacunes et faire en sorte que tout fonctionne bien. Elle se retrouve donc ici, en tant qu'hôtesse de l'air senior, à faire un vol intérieur et à s'occuper de la classe économique.

Non, Sylvie n'était pas de bonne humeur, et elle était d'humeur à s'en prendre à quelqu'un, n'importe qui. Malheureusement pour Sylvie, elle a choisi la mauvaise cible...

Sylvie se tenait à la porte de l'avion avec un sourire éclatant sur le visage pour accueillir les passagers, quand un homme petit et chauve au visage aimable s'est adressé à elle : "Excusez-moi, mademoiselle ?"

Sylvie s'est tournée vers lui, et son sourire a glissé d'un cran. "Bienvenue à bord, Monsieur", dit-elle automatiquement, "Comment puis-je vous aider ?".

L'homme a montré sa carte d'embarquement, l'air embarrassé. "Je n'ai jamais pris l'avion, où est ma place ?"

Sylvie a regardé la carte d'embarquement de l'homme. "Tout droit, ce sera le siège 24D, la rangée du milieu, sur votre gauche."

L'homme acquiesce mais semble toujours aussi confus. Sylvie pousse un soupir d'irritation. "Descendez et regardez les numéros de siège, voulez-vous ?"

L'homme rougit, s'accroche à ses bagages et s'enfuit. Il allait être pénible, Kerry le savait. Eh bien, elle va le lui montrer ! Dix minutes plus tard, elle descend pour vérifier les passagers et trouve l'homme toujours debout.

"Alors ?" demande-t-elle d'un ton sec, "Vous n'avez pas trouvé votre siège ?"

"Si, je l'ai trouvé", dit l'homme, embarrassé, "Mais... je n'arrive pas à atteindre le compartiment à bagages..."

Sylvie arrache le sac des mains de l'homme et le fourre brutalement dans le compartiment à bagages. "Voilà !" dit-elle d'un ton sec, "Maintenant, voous croyez que vous pouvez attacher ta ceinture tout seul ?"

Tous les gens sont égaux et méritent le respect.

L'homme rougit et s'assit rapidement. Il a un peu tâtonné mais a réussi à mettre sa ceinture correctement, a noté Sylvie. Elle a poursuivi son chemin rapidement. C'est presque l'heure du décollage.

Après le décollage, il était temps de faire le tour du chariot à boissons. Comme la première classe lui manquait... Sylvie a lentement avancé dans le couloir en servant des boissons aux passagers. Puis elle est arrivée au siège passager 24D.

"Monsieur," dit-elle, "Que voulez-vous boire ?"

L'homme lui sourit timidement. "Avez-vous du jus de granadille ou de goyave ?"

Sylvie a craqué. "Nous avons du jus de pomme, de raisin, de tomate et d'orange. Si vous en voulez plus, voyagez en première classe !"

L'homme a humblement demandé du jus de tomate, et Sylvie a claqué le verre et la boîte de jus de tomate sur son plateau. L'homme l'a remerciée en silence, et Sylvie est passée à autre chose.

À l'heure du dîner, lorsque l'homme demande du poulet au lieu du poisson, Sylvie lui répond qu'il n'y en a pas, alors qu'elle a une pile de boîtes de poulet sur son chariot.

Lorsqu'elle vient chercher les plateaux, elle constate avec satisfaction qu'il n'a pas touché au poisson et n'a mangé que les crackers, la salade, le fromage et le dessert. Il pourrait perdre un peu de poids, pensa Sylvie ; je lui ai fait une faveur.

Deux heures plus tard, quand la lumière au-dessus du siège 24D s'est allumée, Sylvie l'a ignorée pendant 20 bonnes minutes avant de s'y rendre. "Oui ?", dit-elle d'un ton sec, "Qu'est-ce que c'est ?"

L'homme lui répond humblement : "S'il vous plaît, avez-vous quelque chose pour mon mal de tête ? Je ne me sens pas très bien..."

Sylvie lui tourne le dos et s'en va sans répondre, puis revient avec du paracétamol et un verre d'eau. "Tenez !", a-t-elle dit en tendant le verre et l'analgésique à l'homme. "Si vous voulez vomir, utilisez le sac !"

L'homme l'a remerciée, mais Sylvie était partie. Elle ne pouvait pas attendre que le vol se termine ! Elle détestait les vols intérieurs ! Enfin, enfin, c'était fini ! Elle est restée près de la porte à regarder les passagers partir.

Quand le dernier est sorti, elle a regardé dans la cabine et a vu que 24D était toujours assis là ! Elle s'est dirigée vers lui : "Nous avons atterri, tous les autres sont descendus. C'est ici que vous PARTEZ !"

L'homme lève les yeux vers elle. Il n'avait plus l'air doux et stupide. "Mlle Donavan, j'ai un conseil à vous donner..."

"Oh vraiment ?", ricane Sylvie, "Et qui êtes-vous pour me donner des conseils ?"

L'homme sourit. "Je suis le nouveau PDG de l'entreprise. Je commence lundi, mais d'abord, je voulais savoir ce que c'est que d'être un passager de notre compagnie aérienne."

Sylvie sent la cabine se balancer autour d'elle. "Monsieur, je ne savais pas !"

"Exactement. Chaque passager est un V.I.P. À partir de maintenant, il y aura d'autres observateurs qui voleront incognito sur chaque ligne, et s'il y a la moindre plainte à votre sujet, vous serez virée."

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Ce récit s'inspire de l'histoire de notre lecteur mais a été rédigé par un écrivain professionnel. Tous les noms ont été modifiés pour protéger les identités et garantir la confidentialité. Partagez votre histoire avec nous, elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.