Nordahl Lelandais : Les parents de la petite cousine qu’il aurait agressée sexuellement, sont sortis de leur silence

Alors que ce mardi 3 juillet, Nordahl Lelandais doit être de nouveau interrogé par les juges en charge du dossier Maëlys, l'avocate des parents de la petite cousine de l’ex-militaire est sortie de son silence pour témoigner du calvaire vécu par les parents de cette dernière.

Il y a un mois Closer nous révélait que Nordahl Lelandais, le tueur de la petite Maëlys, 9 ans et du caporal Arthur Noyer, 24 ans était soupçonné d'agression sexuelle sur une petite fille de sa famille.

Cette révélation tombait juste après le week-end où le corps de sa jeune victime, Maëlys, venait d'être enterré.

Plus tôt encore une expertise psychiatrique sur l’ex-militaire avait conclu la "dangerosité criminologique" du suspect en évoquant sa personnalité de "type pervers".

Des conclusions qui semblaient être confirmées par une vidéo troublante découverte récemment par les enquêteurs dans le téléphone portable de Nordahl Lelandais.

Sur les images filmées huit jours avant l'enlèvement et le meutre de Maëlys en août dernier, on voit une petite fille âgée de moins de 7 ans en train de se faire agresser sexuellement.

On a supposé que cette video ait été tournée au domicile de Nordahl Lelandais, à Domessin en Savoie, à l'époque où les parents de la fillette étaient venus passer le week-end chez lui.

Toujours selon Closer, cette information est désormais confirmée par l'avocate des parents de la petite cousine de Lelandais. "Ce qu'ils (les parents de la petite cousine ndlr) ont vu, c'est une main, un bras, qui écarte la culotte d'une petite fille endormie qui a été ensuite identifiée comme leur fille", a déclaré Caroline Rémond avant d'ajouter :

"Mes clients sont bouleversés, extrêmement choqués par ce qui est arrivé à leur petite fille. Ils cherchent des explications."

"La douleur, le traumatisme que j'ai vu chez ces parents, c'est rare", conclue-t-elle en soulignant le fait que les parents de la fillette n'avaient rien suspecté. Ces derniers ont porté plainte pour agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans.