Un avocat paie les médicaments d'une pauvre fille après avoir rencontré ses parents, il devient plus tard membre de la famille - Histoire du jour

Un homme solitaire a rencontré à la pharmacie une famille qui ne peut pas payer les médicaments de sa petite fille. Son acte de bonté lui apporte tout ce dont il avait rêvé.

James faisait la queue à la pharmacie quand il a vu la famille pour la première fois. La maman, le papa et une adorable petite fille aux boucles marron chocolat.

Il se demanda amèrement si l'homme qui se tenait là avec sa jolie femme et sa fille avait la moindre idée de la chance qu'il avait. Il avait tout,... et James n'avait rien.

Il n'y a pas si longtemps, James s'était considéré comme un homme heureux et chanceux, du moins jusqu'à ce terrible matin où deux officiers de police se sont présentés pour le voir.

James, avocat à succès, était au milieu d'un procès, et il s'était impatienté. "Oui, officier", il a claqué des doigts. "Ça ne peut pas attendre ? "

L’officier avait regardé James avec de la pitié dans les yeux, et il avait senti la peur le saisir. "M. Danvers, j'ai peur qu'il y ait eu un accident..."

Un acte de bonté peut sauver une vie.

Et juste comme ça, son monde s'était écroulé. Sa femme, May, avait emmené Jenny à l'école ce matin-là, comme elle le faisait toujours.

Soudainement, May s'est arrêtée à un lampadaire. Le camion qui la suivait par contre ne l'avait pas fait.

Sa belle épouse et sa petite fille avaient disparu. Au début, sa famille et ses amis ont eu l'impression que James s'en sortait, jusqu'à ce qu'ils se rendent compte qu'il travaillait 24 heures sur 24 et refusait de dormir.

Avec l'aide de son collègue, la famille a convaincu James de consulter un médecin qui a diagnostiqué une profonde dépression. Pour s’en sortir, James suivait une thérapie depuis six mois et prenait des antidépresseurs, mais il détestait cela.

"Pourquoi suis-je ici ?", a-t-il demandé à son thérapeute, en colère. "Allez-vous me convaincre que ma dépression est injustifiée ? Que j'ai une vie merveilleuse, qu'il faut voir le bon côté des choses ? “

"Ma femme et ma fille sont mortes parce que les freins d'un idiot ont lâché. J'ai toutes les raisons d'être en colère, abattu et déprimé ! "

Le thérapeute s'était tu ; puis il a dit : "Vous devez trouver un moyen pour surmonter cette épreuve, James. Ils sont morts, mais pas vous. Vous devez laisser aller la colère et vous accrocher à l'amour."

"S'ACCROCHER À QUOI ? ", James a crié, des larmes coulant sur son visage. "Ma petite fille est dans un trou dans le sol. S'ACCROCHER À QUOI ? “

Le thérapeute lui a donc prescrit un nouvel antidépresseur plus puissant, et voilà James qui faisait la queue, regardant un homme qui avait tout ce qu'il avait perdu. La file a avancé, et la petite famille a atteint le comptoir.

“Voilà”, a dit le père, en plaçant l'ordonnance sur le comptoir.

Le pharmacien a lu l'ordonnance et a hoché la tête. Il est revenu quelques secondes plus tard avec le médicament. "Cela fera 89,95 $."

“Excusez-moi ?“, s'exclama le père. "C'est... C'est impossible ! Le mois dernier, c'était 16 $ ! "

"Le médicament a été retiré du marché", expliqua le pharmacien. "Malgré tout, c'est un prix raisonnable par rapport aux autres médicaments de ce groupe thérapeutique".

La mère agrippa le bras du père en signe d'alarme. "Mais... Notre petite fille a besoin de ce médicament. Elle doit le prendre tous les jours ! "

Le père avait l'air en colère, effrayé et honteux. “Nous n'avons pas quatre-vingt-dix dollars “, a-t-il dit calmement. "S'il vous plaît, n'y a-t-il pas un moyen... J'ai trente dollars."

Le pharmacien a secoué la tête. “Je suis désolé, mais vous devez payer le médicament dans sa totalité. Il n'y a rien que je puisse faire ”.

La femme a commencé à sangloter, et la petite fille a demandé : "Maman, tu es malade ? Pourquoi est-ce que tu pleures ? ". L'homme s'est baissé pour réconforter l'enfant, et James s'est avancé.

Il a posé sa carte de crédit sur le comptoir. "Tiens", a-t-il dit au pharmacien. "Utilisez ça."

L'homme avait l'air confus. "Je ne comprends pas, monsieur ! "

"Payez les médicaments de l'enfant ", a dit James. "Utilisez ma carte de crédit."

Le père s'est levé d'un bond et a fixé James. La mère pleurait toujours, et elle pressait sa main sur sa bouche. “Vous feriez ça ?", a demandé le père. "Pour nous ? "

"Pour votre petite fille ", dit James d'un ton bourru. “Je... j'ai eu une fille... Protégez votre fille, s'il vous plaît. Chérissez ce que vous avez." Il a pris sa carte de crédit de la main du pharmacien et s'est dépêché de sortir.

Il a cru entendre quelqu'un crier après lui, mais il ne s'est pas retourné. Il est monté dans sa voiture. Ensuite, il a pleuré parce qu'il était seul et que sa famille lui manquait.

Le lendemain, James a eu une visite surprise à son bureau. C'était la famille de la pharmacie ! La femme a rougi et a dit : "On a demandé au pharmacien de nous donner votre nom sur la carte de crédit. Nous voulions vous remercier."

"Oui", a dit l'homme, s'avançant et serrant la main de James. "Vous ne savez pas ce que ça représente pour nous." La petite fille a jeté un coup d'œil timide autour des jambes de sa mère et a fait signe à James.

"Je m'appelle Kyla ", a-t-elle chuchoté. "J'ai fait un dessin pour vous ! "

"Tu l'as fait ? ", demanda James. "Je te remercie. J'adore l'art. Je vais l'accrocher dans mon bureau."

"Nous voulions vous demander ", a dit le père (il s'appelait Eric). "Voulez-vous déjeuner avec nous dimanche ? Nous faisons toujours un barbecue."

"J'en serais ravi ", a dit James. Ainsi, il est allé déjeuner avec Eric, Valérie et Kyla et il a passé un moment merveilleux. Il a même commencé à y aller tous les dimanches, et bientôt, il faisait partie de la famille.

Puis un jour, Eric et Valérie ont posé une question très importante à James. “Voudrais-tu être le parrain de Kyla, James ? “. “Nous lui avons demandé qui elle voulait, et elle a dit qu'elle te voulais toi..."

James a senti des larmes chaudes inonder ses yeux. "Oui," dit-il. "J'en serais ravi. Merci, vous ne savez pas ce que vous m'avez donné, tous autant que vous êtes. Vous m'avez fait sentir que je faisais partie de quelque chose, votre famille ! "

Que pouvons-nous apprendre de cette histoire ?

• Tendez la main à ceux qui sont dans le besoin et leur offrir notre aide. James a vu le désespoir des jeunes parents et a payé les médicaments de la petite Kyla.
• Un acte de bonté peut sauver une vie. James a payé les médicaments de la petite fille et la gentillesse de la famille l'a sauvé de sa dépression.

Cette histoire est inspirée de la vie quotidienne de nos lecteurs et rédigée par un écrivain professionnel. Toute ressemblance avec des noms ou des lieux réels est une pure coïncidence. Toutes les images sont uniquement destinées à l'illustration. Partagez votre histoire avec nous ; elle changera peut-être la vie de quelqu'un. Si vous souhaitez partager votre histoire, veuillez l'envoyer à info@amomama.com.

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